« Un esprit sain dans un corps sain. » Vous verrez bientôt, ci-dessous, des poésies diverses mais, je l'espère, qui vous plairont.
Dans sa formulation d'origine : « Mens sana in corpore sano »
On le sait plus que bien aujourd'hui : de plus en plus d'humains sont atteints de maladies neurodégénératives, Alzheimer, Parkinson, d'autres, malheureusement.
Peut-être le meilleur à faire pour les prévenir c'est l'exercice physique, l'alimentation, tout ce qui peut maintenir notre état général dans sa meilleure forme.
Il en est probablement de même pour le cerveau. Il faut l'exercer, lui donner du « grain à moudre », des occasions de se maintenir en forme : s'inscrire à une Université
du 3me âge, débuter une nouvelle activité créative (danse, aquarelle, instrument de musique, que sais-je, ce ne sont pas les possibilités qui manquent aujourd'hui.)
Je voudrais vous en proposer une ici : la poésie, ou, plutôt, la mémorisation. Pour les musiques encore absentes, la mémorisation du texte est déjà possible.
Je marche beaucoup pour maintenir mon corps en forme. Vous savez : équilibrer les calories avalées et les calories perdues. Les 10.000 pas quotidiens, y compris fractionnés
sur la journée, auxquels on ajoute une séance physique plus intense le week-end : salle de gymn, balade en vélo, danse populaire, … La respiration de la marche a toujours
généré en moi, musicien, des rythmes intérieurs et, souvent, accompagnés d'une musique souvent instinctive. Parfois c'est le contraire : une petite phrase musicale s'installe
—j'en ai toujours des tonnes dans la tête—puis, parfois, un texte vient s'y greffer lancé avec le rythme et, souvent, inspiré par un élément du paysage, une anecdote qui me revient.
J'ai joint les musiques aux poèmes car, à la Renaissance surtout, le plaisir, et, peut-être, la mémorisation sont multipliés par deux … Chacun fera son expérience …
Tous les poèmes ne sont pas encore disponibles avec la musique, laissez-moi du temps pour terminer partitions, sonorisations, … Vous pouvez déjà mémoriser sans la musique.
Le principe est le suivant —quand tout sera terminé— : vous ouvrez cette page-ci dans deux onglets, vous ouvrez la partition dans un, vous allez dans l'autre et pendant qu'il
continue à vous jouer la mélodie, vous revenez au premier onglet pour visualisez le poème …
Titre de la chanson | Poète | Compositeur | Difficulté | Pagination | Partition | Audio |
À tout choisir | ★ | 1972 | C001 | C001 | ||
L'étang | ★ | 1962 | C002 | C002 | ||
Mignonne, allons voir si la rose | ★★ | Les Odes | C003 | C003 | ||
Vous perdez temps | ★★ | Recueil inconnu | C004 | C004 | ||
Tant que vivray | ★ | Chanson XII | C005 | C005 | ||
Vous me tuez si doucement | ★★★ | I, 28, p. 41 | C006 | C006 | ||
Ce mois de mai | XVIme S. | ★ | C007 | C007 | ||
Voici le joli mois d'avril | ★★ | Esneux, début XIXme | C008 | C008 | ||
Comme la rose | ★★ | Phalèse 7e Livre de chansons | C008 | C008 | ||
Bonjour, mon cueur | ★★★ | Nicolas Du Chemin, éditeur, Paris | C009 | C009 | ||
Le temps a laissé son manteau | ★★★★ | C011 | C011 |